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Episode 8 : Ta blessure, une chance? Mais de quoi?

Bonjour et bienvenue pour ce nouvel épisode de podcast. Aujourd’hui j’ai décidé de vous expliquer ce que j’entends par « Chance » dans le nom de mon podcast « Ta blessure, ta chance ». Parce que concrètement, à première vue se blesser n’est pas une chance…
Mais alors pourquoi ce titre « ta blessure, ta chance » ? Est-ce que la blessure ne serait pas plutôt un manque de chance justement ? De la malchance même ?

🎁 Et je profite aussi de cet épisode pour vous dire que, pour tous ceux qui sont en manque de case à ouvrir, après la fin de leur calendrier de l’Avent, je vous propose un calendrier de l’Après : il est gratuit, en ligne et la première case sera ouverte le 1 er janvier. Tu y trouveras des mini-audio, des mini-exercices, des pensées… pour te sentir mieux malgré la blessure sportive en 1 minute par jour ! il y a 25 case à ouvrir, et je te dévoilerai même un petit cadeau le 25ème jour.
Si tu écoutes l’épisode avant le 1er janvier et si l’idée te plait, il suffit de cliquer sur le lien en commentaires. Tu trouveras également ce lien sur mon site internet et sur mes réseaux.
Si tu écoutes cet épisode après le 1er janvier, pas de panique ! Je vais laisser le lien ci-dessus actif pour que tu puisses nous rejoindre, même en cours de route.

Mais venons-en au vif du sujet. Je vais essayer de faire un épisode assez court avec un message clair à emporter, qui pourra te servir pendant la période de la blessure mais aussi à la reprise.

Je pense que beaucoup d’entre vous trouve peut-être ce titre de podcast un peu étrange et n’adhèrent pas naturellement, de prime abord à ce message ! J’avoue que c’est fait exprès. Je n’ai pas vraiment mis beaucoup de temps à trouver le nom du podcast. Je voulais quelque chose qui traduise ma pensée et l’état d’esprit que j’avais envie d’insuffler à ce podcast. Je voulais un titre positif qui reflète ce que j’ai expérimenté grâce à la blessure sportive. Le but n’est pas de créer une ambiance au « Pays de Candy », la blessure sportive, c’est clairement nul mais je crois profondément que les pensées que l’on applique à une situation sont un levier puissant. Alors non, ce n’est pas magique : c’est juste que nos pensées façonnent nos actions et que donc la vision que j’ai d’une situation va influencer ma manière de réagir face à cette situation et par ricochet les résultats que je vais obtenir. Je vais prendre des exemples concrets dans cet épisode.

Pour commencer j’avais envie de réfléchir à cette notion de chance et de malchance. En général, on va plutôt considérer que le fait de se blesser est un manque de chance, voire de la malchance. Ça peut être le cas, par exemple si on tombe et on se casse une jambe. Mais dans la plupart des cas, il ne s’agit pas de malchance mais de la conjonction de plusieurs facteurs qui se sont associés pour conduire à la blessure.
Un volume d’entrainement peut-être trop important, un geste répétitif pas exactement optimisé, une prédisposition en lien avec une morphologie particulière (par exemple, comme dans mon cas, une scoliose) mais aussi de la fatigue liée à un manque de sommeil, du stress, de l’alimentation, l’avancée en âge, une récupération insuffisante... Il est donc souvent difficile de définir une unique cause de blessure et c’est pour ça que finalement, on a l’impression que c’est un manque de chance qui nous tombe un peu dessus par hasard.
Le problème avec cette pensée c’est qu’elle sous-entend qu’on n’a pas de contrôle sur la blessure, qu’elle survient aléatoirement et qu’on ne peut pas y faire grand-chose. C’est bien sûr faux, les blessures sont souvent évitables (pas toujours bien sûr mais c’est en notre pouvoir de baisser la probabilité de se blesser). J’ai hélas le sentiment et ça n’engage que moi, que de nombreux sportifs doivent passer par la case « blessure » pour réaliser que certains paramètres d’entrainements mais aussi certaines habitudes doivent être ajustées. Il n’y a pas de jugement ici parce que ça a été mon cas et même pire, j’ai dû affronter plusieurs blessures avant d’en tirer des leçons… Louis Ferdinand Céline résume parfaitement ça : il écrit « L’expérience est une lanterne qui n’éclaire que celui qui la porte». C’est d’ailleurs pour ça que même si je trouve que la prévention des blessures chez des sportifs qui n’ont jamais été blessés à toute sa place, cette prévention chez des sportifs qui connaissent ou eu connu la blessure a davantage d’impact selon moi.
Bref, la plupart du temps, la blessure ne survient pas par malchance mais parce que des facteurs de blessures se sont accumulés. Et ces facteurs sont pour certains contrôlables. Bien sûr, la morphologie ne l’est pas mais le reste (le volume d’entrainement, de récupération, l’hygiène de vie, l’apprentissage de l’écoute du corps,…) l’est.

Attention ici, le message n’est pas culpabilisant. Au contraire… Un sportif, c’est un peu comme Icare… Pris dans la passion de son sport, il peut finir par se bruler les ailes. Heureusement, si Icare n’a pas eu de seconde chance, le sportif a le droit à une seconde chance. Et même plusieurs secondes chances !

Et justement passons à la vision de la blessure comme d’une chance.
Et j’avais envie de construire cette deuxième partie de manière assez synthétique puisque simplement je vais essayer de te lister les chances que t’apporte une blessure et de convaincre de saisir ces chances.
Alors, est-ce que déjà par toi-même tu as trouvé des points positifs à ta blessure ? Si ce n’est pas le cas, pas de panique, c’est justement le message que j’ai envie de transmettre, ce changement d’état d’esprit.
Je te livre quelques pistes de réflexions mais on pourrait décliner autour de ces pistes d’autres idées. Peut-être t’en viendra-t-il, adapté à ton cas particulier. Puisque bien sûr chaque cas est unique, chaque blessure est unique, chaque histoire de blessure et même chaque histoire plus largement l’est. J’ai choisi de t’en livrer 7, comme un chiffre clin d’œil, un chiffre porte-bonheur mais au travers de mes épisodes de podcast, de mes programmes, on s’aperçoit que cette liste est non-exhaustive.
Première chance : une chance de faire baisser la pression mentale
Ce n’est pas la première chose à laquelle je pense quand j’évoque les chances qu’on peut saisir quand on se blesse mais c’est quand même un message que j’ai envie de communiquer prioritairement ; le message de se donner l’autorisation de se lâcher la grappe.
On se blesse souvent parce qu’on se fixe des objectifs, ce qui est très bien. Mais on se met une pression de folie pour les atteindre. Soit, je trouve ça très bien de se motiver, d’être régulier et rigoureux. N’oublions pas que tapas, la persévérance est une des 10 règles de vie éthique des Yogis. Mais en fixant l’objectif sans tenir compte du chemin, on risque l’explosion en plein vol.
Et le corps fait alors, par le biais de la blessure, comprendre au mental, qu’il n’est pas un simple instrument. C’est souvent une bonne claque pour l’ego. On se sent nul(le), on n’a pas forcement atteint ses objectifs..
Et finalement, parfois, un échec nous autorise à descendre du piédestal qu’on s’était fixé : l’injonction qu’on se donne parfois à être parfait, à faire les meilleures performances, à s’entrainer coute que coute pour progresser (ce qui en soi est déjà une erreur parce que la récupération fait partie intégrante de la progression). Et bien une fois blessé, on s’aperçoit que la vie continue. Les proches nous aiment toujours. C’est un moyen efficace pour mettre à jour que celui qui met la pression c’est avant tout nous-même et que celui qui va devoir travailler à lever un peu la pression, c’est aussi nous-même.
En quelque sorte, on va être obligé de gouter à un certain lâcher-prise ce qui, en soi, peut être extrêmement inconfortable mais riche d’enseignement. Lâcher-prise est une des choses les plus compliquées à faire mais, au fil de la vie, cette capacité permet de mieux vivre tout un tas de situation. Et en quelque sorte, la blessure est un entrainement pour un jour peut-être arriver à volontairement lâcher prise dans d’autres situations, sportives ou pas d’ailleurs.
Et lâcher-prise ça ne veut pas dire stopper son sport pour devenir champion de gobage de Malteser dans son canapé. Ça veut juste dire relâcher un peu le « je dois » concernant les entrainements. On se penche alors davantage vers un « J’ai envie ». Et le plus étonnant c’est que ce « j’ai envie » est une meilleure source de motivation que le « je dois ». Je pense qu’on se retrouve souvent, à long terme avec plus de résultats si on a une pratique qui repose sur une motivation un peu délestée de la pression qu’on se met.
Je vous donne un exemple : côté travail cardio, je cours quasiment tous les jours ou suivant les périodes, je fais du cardio en salle pour varier. Mais régulièrement, je fais sauter une séance parce que je suis fatiguée, que je sens que mon corps a besoin de récupérer. Et en général, dès le lendemain, je suis motivée à rechausser mes baskets. Parfois il peut s’agir d’une coupure de 2 ou 3 jours, volontairement. Un peu comme si je créais le manque pour recommencer avec davantage de joie. Et franchement ce n’est pas parce que je ne fais pas de cardio de 2 ou 3 jours que la terre se met à tourner à l’envers…

Deuxième chance : une chance d’analyser tes erreurs pour optimiser ta pratique
Donc cette deuxième chance est beaucoup plus concrète. Tu peux solliciter ton entraineur si tu en as un ou encore ton kiné ou ton médecin du sport. Ils pourront t’aider à évaluer certains schémas moteurs à améliorer.
Au-delà de ça, toi-même tu es en capacité de peut-être rétrospectivement te poser des questions sur ta récupération, ton hygiène de vie,… As-tu des pistes pour expliquer l’apparition de cette blessure ? C’est un travail qui peut être assez long et minutieux mais qui vaut le cout d’être fait. Et c’est pour cela qu’à la reprise sportive ou dès maintenant si tu continues à pratiquer avec des modifications de ton entrainement, pourquoi ne pas mettre en place un petit carnet de suivi ou alors un tableau de suivi te permettant de noter des choses qui te semblent importantes et d’y associer l’évolution de ta blessure. Tu peux par exemple y indiquer ton temps de sommeil, la quantité d’eau que tu bois, certains éléments de ton alimentation si tu penses que certaines choses que tu manges ne te conviennent peut-être pas, tes temps de récupération, ton niveau de stress (par exemple au travail). Tu disposes d’un outil évaluant la corrélation entre tes douleurs et différents paramètres de ton quotidien. C’est peut-être mon côté scientifique et cartésien qui ressort mais je crois vraiment que ce petit travail, sur le long terme, peut t’aider. Tu vas donc pourvoir, grâce à ta blessure, prendre le temps d’analyser différents éléments de ton quotidien.

Et j’en viens logiquement à la 3ème chance : une chance de mettre en place de bonnes habitudes
Hydratation, alimentation, sommeil, stress sont autant d’éléments sur lesquels on peut avoir une influence. Et là où c’est une chance, c’est qu’en te créant une routine adaptée, en prenant le temps de le faire, tu auras un impact sur d’autres sphères de ta vie. Par exemple, si tu travailles autour de ton sommeil, tu vas, j’en suis sure, être de meilleure humeur et peut-être améliorer certains rapports personnels, professionnels. Et ceci, à long terme ! La blessure est donc une chance de s’arrêter pour réfléchir et reconstruire.

Et d’ailleurs cela fait le lien avec la 4ème chance : une chance de récupérer
Je répète : une chance de récupérer. Je ne dis pas de t’arrêter de bouger. Mais de bouger différemment pendant quelques temps. Alors oui, la reprise est parfois un peu compliquée mais à condition de reprendre tranquillement, une période de pause peut être bénéfique. Bien sûr ici, le problème est un peu différent dans certains cas particuliers où aucune baisse de performance n’est tolérée, dans le cas de sportifs de haut niveau qui jouent leur carrière. Mais pour la plupart des sportifs, une baisse de niveau temporaires, qui de toute façon va exister puisqu’on est blessé, n’est pas si grave. J’en reviens au premier point. Poser un peu son ego et franchement ça fait du bien. Prendre le temps de récupérer même si ça nous force à relâcher un peu l’égo, c’est une chance. Et ce lâcher d’égo, (on dirait que je parle d’un lâcher de colombe) va même imprégner d’autres domaines. Par exemple, le fait de vieillir tout simplement. Comment j’ai plombé l’ambiance ! Mais c’est vraiment un sujet qui me parle parce qu’en tant que prof de Yoga on est confronté, en particulier sur les réseaux à des image de filles magnifiques, dans des tenues magnifiques qui font des postures magnifiques… Donc en tant que petite prof de Yoga en legging Decathlon qui poste de temps en temps une posture de l’enfant, lâcher prise sur l’ego est vraiment salvateur et permet de faire son chemin pour transmettre les messages qu’on a envie de transmettre.

5ème chance : une chance de redéfinir ton identité
Ne nous mentons pas, on se blesse souvent parce que notre identité sportive prend une grande place dans notre vie. Et c’est très bien. Je suis la première à me définir comme une sportive. Je crois que ça fait partie de mon mode de vie depuis toute petite et la seule période où j’ai levé le pied c’est en prépa et encore j’arrivais à aller nager à la piscine pour évacuer le stress. Mais parfois on s’oublie dans cette identité qui, il faut le reconnaitre peut-être envahissante. Et je respecte complètement le fait de ne pas vouloir sortir un vendredi soir parce qu’on a entrainement ou bien parce qu’on doit se lever tôt le samedi matin pour une séance. Ça m’arrive régulièrement et même si les non sportifs ne le comprennent pas du tout, je n’y vois pas de problème à condition que ce soit un choix conscient. J’assume de préférer aller courir tôt samedi matin plutôt que d’aller faire la fête vendredi soir. Je trouve ça même plutôt sain parce qu’alcool, manque de sommeil et entrainement font mauvais ménage (c’est d’ailleurs ce cocktail-là qui a favorisé ma première blessure).
Donc assumer son identité sportive oui mais ça peut être intéressant d’explorer d’autres identité. Est-ce qu’il y a des choses dans ta vie, hormis sportive, que tu as envie de développer ? La blessure te donne le temps d’y réfléchir et d’explorer. Est-ce que tu as toujours eu envie d’écrire un livre ? Est-ce que tu penses avoir un talent théâtral inexploité ? Est-ce que tu t’aperçois que tu ne passes pas assez de temps avec certaines personnes et que ça te manque ? Et bien c’est le moment de tester, d’élargir ton identité. En plus je l’ai déjà dit mais en étant dans l’action, en tentant de nouvelles choses, tu vas avoir une satisfaction et une confiance en toi qui vont grandir. Et rien que ça, ça vaut le coup !
C’est aussi une chance de redéfinir ton pourquoi et tes objectifs. Pourquoi fais-tu du sport ? Quels sont les objectifs réellement alignés que tu peux mettre en place ?
Peut-être même qu’en redéfinissant ton pourquoi, tu t’apercevras que tu peux trouver ton pourquoi dans d’autres choses et donner encore plus de cohérence à ton mode de vie en revenant aux choses essentielles pour toi. Et ça ce n’est pas rien ! Un peu comme un grand ménage de printemps : tu fais de la place et peut-être que tu pourras introduire de nouvelles et belles choses dans ta vie.

6ème chance : une chance d’apprendre à surmonter une épreuve
Tous les outils dont je te parle dans le podcast ou mes programmes, pourront te servir dans une future épreuve, différente de celle de la blessure. Pour tout te dire, les méthodes dont je te parle, je les ai également appliquées lorsque j’ai décidé de quitter mon travail stable à l’éducation nationale (ce n’est pas la même problématique qu’une blessure mais là encore c’est une épreuve qui vient soulever plein de choses !). Finalement les étapes de lucidité, d’acceptation seront présente dans toutes les épreuves. Puis l’utilisation des outils du yoga ou de la psychologie positive pour rebondir et construire à travers l’épreuve que tu traverses te servira également. Bref, ta capacité de résilience augmentera et tu sauras traverser plus facilement n’importe quelle autre épreuve.

7ème chance : Apprendre à écouter ton corps
J’en reviens au début du podcast : la blessure est souvent un passage obligatoire car pour beaucoup d’entre nous, c’est un passage obligé pour apprendre à écouter son corps. Je sais que pour certains et on m’a déjà fait la réflexion qu’« écouter son corps » était pourtant simple. Ça m’a un peu énervée parce que de mon côté j’ai mis du temps à y parvenir et c’est seulement grâce au yoga que j’y suis parvenu. C’est un peu comme les Maths : je suis fan de maths et je trouve que c’est un magnifique système (je sais, je passe pour une folle mais peut-être que certains parmi vous ont aussi été émus lorsqu’ils ont découvert que i2 était égal à -1 ?). Et il ne me viendrait pas à l’esprit de dire à quelqu’un que je ne comprends pas qu’il ne comprenne pas les Maths (Et Dieu sait que j’ai croisé des élèves qui ne comprenait rien aux Maths pendant ma carrière à l’Education Nationale). Bref tout ça pour dire que nous avons chacun nos capacités et que celle d’écouter son corps n’est pas évidente pour tout le monde !
Et si tu es comme moi, avec une tendance au perfectionnisme et à faire les choses à fond, pas d’écoute du corps+ exigences pas toujours judicieuses sont un bon combo pour conduire directement à la blessure sans passer par la case départ et toucher les 20 000 euros !

Dans cet épisode, j’espère avoir pu te convaincre que la blessure était une chance. Déjà la malchance a peu de place ici parce qu’on sait que les blessures sont souvent multifactorielles. Mais c’est une bonne chose parce que ça veut dire qu’on a le pouvoir de changer les choses et de ne plus se reblesser.
Si on voit la blessure avec un prisme positif, ce sera l’occasion de se lâcher un peu la grappe (et ça ce n’est pas si facile !). Et pendant ce lâchage de grappe, ce sera une excellente opportunité d’analyser tes erreurs pour optimiser ta pratique et également de mettre en place de bonnes habitudes. C’est aussi une chance de récupérer : sans parler d’arrêt total ce qui est d’ailleurs déconseillé, on peut voir la blessure comme une période de récupération suivie d’un retour progressif à l’entrainement.
Pendant cette épreuve, tu pourras aussi réfléchir à ton identité : ton pourquoi, tes objectifs, tes essentiels…
Ta blessure est également une opportunité d’accroitre ta capacité de résilience et d’apprendre à surmonter une épreuve.
Enfin, c’est une voie d’apprentissage de l’écoute du corps. Une voie forcée mais qui te permettra de te reconnecter à ce corps que parfois, on maltraite sans réellement s’en rendre compte jusqu’à l’épreuve de la blessure qui vient rebattre les cartes..
Alors je sais, tu préfèrerais ne pas être blessé(e) mais si tu saisis les opportunités que t’offre ce cadeau mal emballé, tu en sortiras plus fort, je te le garantis !

En parlant de cadeau, je te rappelle que si tu veux, tu peux télécharger gratuitement ma Roadmap qui te donne les 8 étapes pour cheminer sereinement à travers la blessure. Il suffit de cliquer sur le lien en commentaire.

Je te remercie du fond du cœur d’avoir écouté ce podcast et je te souhaite une excellente journée ou soirée. A très bientôt. Ciao Ciao
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